Comprendre les effets du projet VRAC
Une étude qui est née d’un besoin : prendre le temps d’observer et valoriser la richesse humaine et relationnelle du travail accompli par les équipes du réseau VRAC. Ce qui nous semble d’autant plus important dans une société trop axée sur une logique d’évaluation quantitative et chiffrée. Prendre du recul, pour rendre visible ce qui souvent échappe aux outils classiques d’évaluation.
Une recherche-action sensible et participative
Menée par Bénédicte Bonzi, docteure en anthropologie, avec la complicité de Nicolas Bricas, chercheur au Cirad, UMR MoISA et titulaire de la Chaire Unesco Alimentations du monde, et du réseau, cette étude est un rapport scientifique qui nous plonge dans l’univers de VRAC. Elle a vu le jour grâce à la participation des associations locales et grâce à 4 étudiant·es en stage (Jonas Capozio, Juliette Chattelard, Sidi Doumbia et Pierre-Richard Perroneau) qui ont participé à la collecte et l’analyse des données.
Cette recherche-action repose sur une méthodologie rigoureuse avec une collecte de données qualitatives approfondies, une immersion de longue durée, et une implication active des personnes concernées (salarié·es, bénévoles et adhérent·es).
En ressortent deux documents, d’abord une version exploratoire et détaillée « Exploration d’un mouvement de solidarité alimentaire », et ensuite, une version plus concise, « Contribution pour de nouvelles solidarités alimentaires », qui tire les grands enseignements du travail de recherche et propose quelques bonnes pratiques.